J'ai envie d'écrire mais les mots me manquent... envie d'écrire, ou bien d'écrire un article ? Envie d'écouter de la musique mais rien de ce que j'ai sous la main. Voilà bien des soirées (ou plutôt des nuits, vu l'heure qu'il est) ou l'on a un gros vide qu'on ne sait pas comment combler. Permet moi de te tutoyer, lecteur, j'éspère qu'ainsi tu seras plus à ton aise.

   Envie d'écrire plein de choses. Un tas d'idées d'articles et de façons de m'exprimer, des tournures de phrase, des airs de musique. Tout défile dans ma tête. Et c'est quand je m'installe devant mon écran ou ne serait-ce que devant une feuille, prête à écrire une partition que... les mots me manquent à nouveau. Voilà bien une maladie passagère, en général.

   Ce ne sont pas les mots qui me manquent, puisque j'en ai écrit déjà quelques un depuis deux minutes. C'est l'inspiration qui fout le camp.

   Voilà un an, j'écrivais de belles choses, des articles à succès. Mais je rouille, de toute évidence. Et si j'arrêtais de me préoccuper des gens qui me rendent visite ? Peut-être précisément parce que j'ai envie qu'on me rende visite, pour qu'on sache que je ne me suis pas endormie sous mon lit et que je ne me suis pas étouffée avec les moutons de poussière.

   Il est déjà deux heures passées, et je ne suis absolument pas fatiguée. Je ne dors plus tellement, et je mange de moins en moins. Ça aussi, c'est passager. Mais j'ai appris avec le temps que les gens ont besoin de voir des sourires pour avoir envie de sourire. Alors je vais respirer la joie moi aussi.

   YOUPIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

   A y est j'ai fini. ^^

   Bref, je crois que je vais m'arrêter là. j'ai bien envie de raconter ma vie, mais mes journées se résument à ceci : je me lève, je mange, je vais sur mon ordinateur, je réfléchis, je m'en vais, je reviens, je m'en vais, je reviens (...), je mange, je reviens et je me couche.

   Eh bien je vais vous dire. ce n'est pas à deux heures que quelqu'un passera lire ceci, donc je ne serai pas aux aguets. J'écrirai demain, dans l'après-midi sûrement. Au lieu de regarder les idées défiler, j'en atrapperai une au passage parce que les occasions de saisissent.

    Pour terminer sur une touche "morale de l'histoire", je dirai qu'il ne faut pas forcer l'inspiration, il faut la laisser venir. La preuve, je viens de l'écrire mon article ! (C'est pas de la grande qualité, mais je vais remonter la pente ;)