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Inepties d'une Agoraphobe
Vendredi (05/01/07)
Nouveautés signé 2007
• Je me sens bien ! • Je suis toujours seule dans la vie. • J'ai rien dans le pantalon (enfin si c'était nouveau...) • La déco cici est très jolie mais j'ai des idées de plein air et d'espace... ça sent le changement. • J'ai déniché une photo où j'arrive à ne pas me trouver laide. • J'ai envie de bosser. A vrai dire, je deviens avide de réussite. • J'ai refusé les avances de quelqu'un le même soir où je devais faire ma déclaration. Quand même, elle est pas mal celle-là. • Je vous rappelle que je n'ai rien dans le pantalon (ça vous a mis la puce à l'oreille, là ?) • Je meurs de faim... • Avec cette photo je deviens vraiment narcissique... • Deviendrais-je totalement changée en l'espace de quatre jours ? • Je m'éffraie moi-même. • Il faut que j'aille dormir pour ne pas être réveillée trop tard mais je ne suis vraiment pas fatiguée. • Il fallait que je vous écrive un article pour vous raconter quelque chose mais au bout de trois fois où vous lisez que j'ai rien dans le pantalon, ça devrait suffire. • Je l'ai écrit, cet article. • J'arrive de plus en plus à assumer qui je suis. • Je me sens bien ! Bonne nuit... Ecrit par Pitseleh, à 02:01 dans la rubrique "Journal d'une misanthrope".
Lire l'article ! (suite de l'article + 4 commentaires)
Dimanche (31/12/06)
Goodbye, la furtive...
--> Un article à rallonge.
Je vais terminer l'année sur un article de mon journal pas spécialement intime. je ne sais pas pourquoi, ça me fait tout bizarre de changer d'année. Comme si je me détachais de quelque chose que j'avais l'habitude d'avoir. C'était comme ça à mon anniversaire, il y a presque deux semaines (déjà). J'ai surnommé 2006 "la furtive" tout simplement parce que je ne l'ai pas vue passer. Pourtant, elle n'a pas été si moche que ça. Je me souviens à quel point l'année 2004 avait été nulle... non en fait j'éxagère mais je me souviens tout de même avoir été soulagée d'avoir changé d'année. Voici donc l'année 2006 dans l'histoire de ma vie. Janvier. Je ne me souviens pas du début. J'ai cru tomber amoureuse d'un ami proche à moi, le petit frère d'une de mes meilleures amies. je m'étais bercée d'illusions comme une folle et j'ai cru être amoureuse... c'est au bout d'une semaine que je me suis rendu compte que non. Heureusement que je met du temps avant de me déclarer. Le 24, chose absolument pas préméditée, je tombe amoureuse d'un charmant jeune homme aux yeux bleus et qui avait le don de me faire rire aux éclats. J'y ai repensé tout le soir. Le 27, il y avait une sortie à l'opéra. En omettant les maux de tête, et les fous rire en regardant tout le rang de devant où chacun était endormi, la tête posée sur l'épaule du voisin, j'étais heureuse : il était deux places à côté de moi et je n'ai pas cessé de le regarder... discrètement. Février. Le jour de la St valentin, j'étais en vacance aux sports d'hiver. Je pensais très fort à lui, qui ne se doutait de rien. Un autre jeune homme m'a avoué vouloir tenter quelque chose avec moi. Le cœur pointé dans une toute autre direction, je lui ai dit que j'avais quelqu'un, un mensonge qui me plaisait au fond. J'avais officiellement un petit copain, bien que ce n'était pas vrai. Quelle tristesse... Musicalement, j'ai lâché tout ce qui se rapporte au rock pour me lancer complètement à fond dans le jazz. des vacances de rêve mêlant le ski, le jazz dans les oreilles la nuit, et les jeux Olympiques d'hiver à la télé. Et moi qui adorais regarder le hockey sur glace... Mars. la routine, je ne me souviens pas de grand chose. Mon seul souvenir reste un anniversaire fêté à la pizzeria et où j'avais promis un cadeau que je n'ai jamais offert. Pas étonnant de ma part. C'est ce mois-ci que le cher jeune homme aux yeux bleus a connu mes sentiments. Il n'a rien dit. Avril. Il a daigné m'adresser la parole. Sur MSN, monsieur est trop timide. Il vient de se remettre avec son ex et moi je suis dépitée sur le moment. Bizarrement, je ne le vis pas trop mal par la suite. Lui et moi décidons de devenir amis et discutons bien... un léger pincement au cœur, moi qui suis toujours quelque peu amoureuse. On décide de se retrouver un après midi pendant l'étude, je lui ai dit que je saquerai son voisin à coup de pompe. Son voisin au prénom de fête des amoureux, un garçon que je n'affectionnais pas plus que ça. Sortie à Paris. On a crapahuté des heures au soleil. le soir, on a vu "Tartuffe", je le cherchais lui, j'avais du mal à respirer. Monsieur 14 février était derrière moi avec sa nouvelle copine. J'en avais rien à foutre. Mai. J'oublis peu à peu le jeune homme aux yeux bleus... je surprend monsieur 14 février, les larmes aux yeux alors que j'étais en pleine littérature. Ça bat de l'aile avec sa copine, et je le prend sous la mienne (je parle de mon aile ^__^). On discute de plus en plus fréquemment (sur MSN comme toujours) et tout compte fait, je l'apprécie de plus en plus, ce cher petit bonhomme. Juin. Mes cheveux deviennent long, je suis contente. A part ça, quelle pagaille ! On commence le mois avec une semaine en Auvergne. Le premier jour, j'avoue à une amie que j'ai des sentiments pour monsieur 14 février, oui lui qui me tapait sur le système au départ (comme quoi l'amour c'est bizarre). Son ex (l'autre qui l'avait mis mal en point) lui avoue vouloir recommencer, il part en vrille. Moi je reste assez près en cas de besoin et assez distante pour que je sois l'amie et rien de plus, qu'on ne se doute de rien. Une amie de son ex semblait le convoiter également. Elle se rapprocha de lui durant cinq jours. j'ai un très mauvais pressentiment. On tente de me rasurer mais c'est plus fort que moi, il a dû se passer un truc. Pendant tout le voyage, j'ai été angoissée par cette sensation. Au retour, une semaine de vacances. J'étais heureuse de rentrer ! J'ai englouti la saison 2 d'Ally McBeal avant de retourner un jour bosser, et je lui ai dit au revoir. Juillet. On commence par des vacances à Paris chez ma sœur. Engloutissement des saisons 3 et 4 (la 5e à la maison) d'Ally McBeal. Depuis un bon mois j'idôlatre Beck, en effet le jazz est déjà loin. Mon chez moi finit par me manquer, je veux retrouver mon canapé, mon lit, et mes toilettes. En rentrant, je passe une nuit chez ma meilleure amie, monsieur 14 février est là. Lui et moi on passe ce mois à bien discuter, l'amour est toujours au rendez vous en ce qui me concerne. C'est au début du mois que je crée un joueb qui ne m'a pas plu, et c'est à la fin du mois que je crée celui-ci. Août. Celui-ci commence avec l'escapade vers le sud (cf : l'article "La grande évasion"). Pétages de câble sur pétages de câble car je ne suis pas fichue de m'entendre avec la famille, surtout en ce qui concerne ma mère. J'idolâtre toujours Beck dont la musique m'aide à ne pas rêver de meurtres la nuit. Si vous avez suivi, en février un copain me proposait de sortir avec moi, j'ai refusé. C'est auprès de lui que j'ai trouvé réconfort en août, je me suis posé des questions, j'oubliais un peu monsieur 14 février... J'ai lu "Où est tu ?" de marc Lévy, ça m'a beaucoup plu et permis de rêver ainsi que de respirer. En rentrant, nouvelle journée chez ma meilleure amie, on va voir "Pirates des Caraïbes 2" (je n'ai pas vu le 1, j'ai eu un peu de mal...), j'arrive chez moi et Tite Pâte (ma souris) rend l'âme (cf : l'article "Funérailles d'une souris"), la routine s'installe jusqu'à la fin du mois. Septembre. Voilà la rentrée... il faut se sociabiliser à nouveau. Ce retour à la foule, moi qui avais fait l'hermitte pendant deux mois, m'a anéantie. Ce fut un délire du genre "les gens y sont méchants j'veux pas les voir". On a beau être grands, les cons sévissent nimporte quand. Le 14, je craque un jour après que ma mère soit "sortie de ma vie", c'est l'anniversaire de monsieur 14 février. Le 15, lui et moi discutons longuement, il me regonfle à bloc, ça fait une semaine ou deux que les sentiments sont revenus... et puissance 10. Le 18 je projette de me déclarer. Le 19, je le vois embrasser une fille, celle qui le convoitait en Auvergne, en juin. Une amie m'apprend qu'ils sont en fait ensembles depuis l'Auvergne. Moi qui éspérais depuis ce temps, tout mon monde s'écroule. Je suis inconsolable. Octobre. Le 14, soirée d'anniversaire chez une copine. Il est là, elle aussi. Je suis là, comme une ombre à picoler pour ne pas voir qu'ils sont là. Il paraît que ça va très mal entre eux. La soirée se termine, je l'ai fait sourire. J'ai eu ce privilège, et sa copine me fusille du regard... j'en ai rien à secouer, je suis victorieuse. Le 15, je l'aide à remonter la pente, on fait le point et je tente de le faire relativiser. Une semaine plus tard, ils se séparent. Il m'avoue que je suis la personne qui le comprend le mieux. Finalement, je compte beaucoup plus que je ne le croyais. Je me sens sereine et cette douleur dans l'estomac vieille d'un mois et demi s'estompe. Novembre. Mes amies que j'ai depuis des années déjà deviennent étranges et cherchent des histoires à tout le monde. L'une m'en veut à mort pour avoir dit derrière son dos qu'il y en avait marre de ces histoires à la con. Je ne cherche pas à ratrapper quoique ce soit, j'ai mes problèmes et si faut en rajouter pour s'amuser, très peu pour moi. Je me barre officiellement de ce groupe d'amies qui n'en sont plus pour la plupart. Côté cœur, l'amour grandit de jour en jour. En ce qui le concerne, il est toujours amoureux. Je le soutiens, il a besoin d'une amie et pas d'une prétendante. Je remplis mon rôle à merveille. Décembre. J'ai les cheveux bien longs, c'est cool ^___^ Il paraît que j'ai de des grandes qualités littéraires, on m'a même dit que j'avais du talent (vrai ou non, vaut mieux y croire), mais qu'il faut travailler d'avantage. Monsieur 14 février s'est remis de sa rupture au début du mois. Quant à moi, je suis plus amoureuse que jamais et j'ai une peur panique de lui dire parce que je n'imagine même pas que je ne puisse pas être avec. Vers le milieu du mois, je vieillis d'un an. je ne supporte plus les gens avec qui je travaille. Le 25, je retrouve ma sœur avec qui je passe un très bon Noël. J'engloutis les 4 premières saisons de Scrubs depuis deux semaines. Après Noël, c'est la routine... je dors énormément. Demain, je passe le nouvel an chez ma meilleure amie, il sera là et c'est officiellement demain que je me déclare. J'ai une de ces peurs... Maintenant que je viens de faire le point sur cette année, je constate qu'elle fut bien sympathique et que c'est peut-être pour ça que m'en séparer m'est désagréable. J'ai peur de commencer 2007 d'un mauvais pied. J'ai été amoureuse deux fois et ces deux amours partagent équitablement l'année. je vais terminer celle-ci par un avis décisif de ce second amour qui ne veut pas s'éteindre. Tant mieux. mais j'ai peur quand même... Bref, n'étant pas là demain, j'ai voulu écrire cet article après minuit pour qu'on soit le 31. Oui aujourd'hui on est le 31 ! Donc, adieu 2006 et bonne année à tous ! Ecrit par Pitseleh, à 02:18 dans la rubrique "Journal d'une misanthrope".
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Vendredi (29/12/06)
Amsterdam, reviens moi !
--> Désolée pour le manque de d'inspiration aux recherches d'images, j'ai les yeux qui me piquent...
Ecrit par Pitseleh, à 00:25 dans la rubrique "Journal d'une misanthrope".
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Lundi (25/12/06)
Un réveillon même pas magique
J'ai envie de faire pipi... Ecrit par Pitseleh, à 01:16 dans la rubrique "Journal d'une misanthrope".
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Mardi (19/12/06)
Un balais de plus au placard
Je vous raconterai l'épopée de cet anniversaire un peu plus tard, si vous le permettez... merci.
Ecrit par Pitseleh, à 23:17 dans la rubrique "Journal d'une misanthrope".
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Samedi (16/12/06)
Un après-midi de Décembre sur la Terre
Voilà une journée bien charmante, en compagnie d'une jeune demoiselle que je connais depuis déjà quelques années. Avec le temps qui passe, on efface peu à peu ce qui fait partie du passé. Je ne sais si c'est un mécanisme de défense pour éviter d'avoir mal au je ne sais quoi d'autre mais aujourd'hui fut étrange... Attend donc que je te raconte tout cela. Après une très mauvaise nuit qui ne promit ni conseil, ni sommeil en raison officielle d'un abus de jus d'orange bon marché et semblant vitriolé de surcroît (officieusement, je ne sais pas... ou peut-être que si), je me traîne devant le piano jusqu'à ce que la faim me contraigne à stopper mon massacre. Je manque d'inspiration et ça m'énerve. J'ai eu l'audace de penser que le ventre plein, ça irait mieux. Trois heures devant la télé, on dirait que le temps ne passe pas mais il défile plus vite que nimporte quoi d'autre. Une petite voix me demanda "Qu'est-ce que tu fais aujourd'hui ?". Qu'en avais-je à faire, de mon travail ? Je vis une porte s'ouvrir dans ma routine étouffante. "Tu veux venir à la maison ?" Et puis pourquoi pas ? Une ballade en voiture, le plaisir (pour moi) de briser des bouteilles, les entendre se fracasser dans ce "truc où on jette les bouteilles". Un saut à la déchetterie, on a porté des sacs de journaux... Est-ce palpitant ? Palpitant ou non, est-ce important ? Je voyais autre chose, je voyais quelqu'un d'autre. Je respirais. Nous avons déambulé dans un magasin pour acheter des cadeaux de Noël et j'eu un lapin en peluche car la demoiselle ne sera pas là pour mon anniversaire qui ne se fait presque plus attendre. J'avais faim... et un brownie, ça rend heureux. Très heureux. La suite fut prévisible et agréable. Elle me raconta ce qu'elle était, ce qu'elle devenait, ce qu'elle avait, ce qu'elle voulait... je fis de même. Et ça faisait du bien. Dans ce train de vie où personne ne me donne l'envie ou le besoin de me confier car non, je n'ai pas confiance, je ne suis pas à l'aise, et je garde tout... et c'est fatiguant. Cette amie là, elle est des années entières de rires et de délires. Revenir ici, dans un endroit où je suis la bienvenue... j'ai retrouvé mes marques, quelque chose que j'avais déjà vu, que je connaîssais et ce sentiment de sécurité m'envahit. Me voilà rassurée. Et cette soirée que je passe devant mon écran, un pincement au cœur de savoir qu'en franchissant le seuil de ma porte, je me baigne à nouveau dans ce flot d'incertitudes, de peur du lendemain, et de lassitude qui vient s'ancrer en moi. Et lui qui me dit "Non, je vais te laisser te reposer". Me faire traiter comme quelqu'un de fragile, j'en ai presque les larmes aux yeux. Mais elles viennent si facilement... ...et ça aussi, ça fait du bien. Ecrit par Pitseleh, à 23:26 dans la rubrique "Journal d'une misanthrope".
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Mardi (03/10/06)
Escapade vers l'été
Ecrit par Pitseleh, à 23:04 dans la rubrique "Journal d'une misanthrope".
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Jeudi (28/09/06)
Ratrappons le temps perdu...
Voilà cher ami... prépare toi à subir mes écrits à nouveau. Je le sais, je n'écris plus tellement, mais tu sais, si j'en ai parfois le temps, je ne suis plus que très rarement dans l'état d'esprit adéquat. Mais ce soir... je ne sais pas, j'ai cette senstion d'être enfin redevenue "moi". J'ai tant à te raconter ! Prend donc un siège, sirote un petit quelque chose tant que tu y es et lis moi un peu si je daigne t'intéresser... Ecrit par Pitseleh, à 00:12 dans la rubrique "Journal d'une misanthrope".
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Lundi (18/09/06)
Quoi...?
--> Mais pourquoi ce titre ??
Non non !! Ce joueb n'est pas à l'abandon... c'est toujours mon petit coin que j'aime, celui où j'aime me rendre. Dans certaines circonstances. Il faut que mon esprit soit tranquille et pur pour écrire quelque chose qui provient vraiment de l'intérieur... il faut que je sois seule, que je me sente seule, que je ne sente plus l'empreinte d'autrui sur mon corps comme mon esprit. De cette façon, les souvenirs se brouillent et la réalité se distorsionne pour laisser place à l'imaginaire... tous ces paysages qui défilent dans ma tête,ce pensées, ces rêves, ce monde créé de toute pièce que je ne peux montrer à qui que ce soit. Tout ce que je peux faire, c'est décrire ce que je vois. Ecrit par Pitseleh, à 00:36 dans la rubrique "Journal d'une misanthrope".
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